• La quatrième journée du festival Buja Sans Tabou a été animée par deux pièces «Plus de circoncision» de la troupe Lampyre et «M’appelle Mohamed Ali» de « La charge du Rhinocéros »(Burkina Faso).
• Bien que les horizons soient à des milliers de kilomètres de distances, les réalités sont les mêmes: la recherche de la liberté, la considération et la justice
On est à la 14ème avenue numéro 6 à Buyenzi, en pleine route, devant une vielle maison en étage. L’endroit n’a pas été choisi au hasard. Un vieux du quartier, Anzuruni de son nom, va évoquer que le bâtiment, aussi vieux et moins bien coloré soit-il, représente la lire la suite …